L’implant Link révolutionnaire pour le second patient
Suite à une lésion de la moelle épinière, Alex a recu une puce cérébrale conçue par la start-up Neuralink. Alex est le deuxième humain à bénéficier de ce dispositif pour améliorer son quotidien. Gagnant en autonomie, il joue à Counter-Strike 2 et réalise des pièces en 3D à l’aide d’un logiciel de CAO.
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Une opération réussie pour Alex
Elon Musk, le chef d’entreprise de Neuralink, relate les faits suivants :
Il a annoncé cette seconde opération le 5 août et elle a été réalisée au Barrow Neurological Institut. L’implantation de la puce cérébrale Link dans le cerveau d’Alex s’est très bien déroulée. Ce ne fut pas le cas pour le premier patient, Noland Arbaugh. En effet, les fils de l’implant s’étaient rétractés dans son cerveau et les électrodes s’étaient déplacées.
Afin de pallier ce risque avec le deuxième patient Alex, la firme souligne avoir mis en place un certain nombre de mesures pour éviter une rétraction des fils. Pour cela, l’écart entre l’implant et la surface du cerveau lors de l’opération a été réduit.
Une expérience à la hauteur des espérances
Les recherches avancent à grands pas et indiquent un avenir encourageant pour les individus tétraplégiques.
Dès la première connexion entre son implant Neuralink et son ordinateur, Alex met moins de cinq minutes pour contrôler le curseur de la souris avec son esprit.
Lors d’un test, il a même réussi à dépasser une vitesse et une précision optimales. Il détient aussi un record mondial de contrôle du curseur avec une interface cerveau-ordinateur.
Des capacités étendues
Avant son accident, Alex exerçait la profession de technicien automobile. Il réparait des véhicules et aimait déjà construire toutes sortes de produits.
Par ailleurs, il s’adonnait aux jeux vidéo en se servant d’un joystick appelé quad stick et actionné par la bouche grâce à des capteurs de pression. Toutefois, il ne pouvait pas se mouvoir et viser sa cible en même temps.
Alex utilise maintenant l’implant pour jouer à son jeu préféré Counter-Strike 2 et concevoir des objets en 3D avec l’aide d’un logiciel de conception assistée par ordinateur (CAO).
En associant des gestes inhérents aux types de clics d’une souris, Alex se trouve bien plus productif. Aujourd’hui, il éprouve de la joie en créant les produits à partir de ses idées, une chose qui était impossible à cause de sa lésion de la moelle épinière.
Un avenir prometteur
Les personnes tétraplégiques deviennent plus autonomes et maitrisent plus facilement leurs prothèses et leurs fauteuils roulants. Elles communiqueraient directement avec les appareils électroniques.
La start-up décide de faire profiter des personnes paralysées afin qu’elles renouent avec leurs passions et qu’elles créent dans leurs domaines d’expertise.
Devant ce succès, l’entreprise Neuralink souhaite travailler avec plusieurs personnes pour leur offrir de nouvelles perspectives. Elle ne compte pas s’arrêter là et a bien des ambitions. La firme souhaite aider des patients à se nourrir et à se déplacer avec un bras robotisé.
Même si cela pose des questions au niveau éthique, la technologie leur redonne de l’espoir et changerait leur attitude face à l’innovation.
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Neuralink résume les progrès d’Alex
Alex a reçu l’implant cérébral Link dans le cadre d’une étude appelée Prime. L’objectif est de montrer l’utilité de la puce dans la vie quotidienne. Les résultats ont été concluants chez Alex, car il joue à nouveau et surtout, il fabrique des produits finis.
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Passionné par la technologie, j'ai accumulé plus de 20 ans d'expérience dans la tech. De formation ingénieur en informatique, mon parcours professionnel m'a permis de maîtriser diverses facettes du secteur, des infrastructures aux logiciels. Mon engagement et ma curiosité constante me permettent de rester à la pointe des innovations technologiques.
